Masao est née, il y a maintenant de ça vingt-deux ans. Ce jour-là il pleuvait toute la journée et il y avait même de l'orage. Le mauvais temps commençait déjà apparemment dans la ville de Draconia qui se trouvait être très proche des pokemons de type vol. Sa mère l'ayant mis au monde durant l'après-midi, se sentait légèrement mal. Heureusement que tout c'était bien passé, car la première fois qu'elle était tombée enceinte, elle avait fait une fausse couche et donc pour ne pas que cela recommence, elle fut suivie de très près par des personnes compétentes. La mère avait accouché à l'hôpital et elle était très bien entourée. Le père avait pris sa fille dans ses bras, car on le lui avait mis après avoir coupé le cordon ombilical de Masao. Par la suite on l'avait posée dans les bras de sa mère avant de l'emmener dans un lieu exprès. Celui-ci était sorti plusieurs jours après sa naissance de l'hôpital en compagnie de ses parents.

Sa mère était un éleveur de pokemon, tandis que son père était un dresseur de pokemon. Ses deux là avaient décidé qu'un jour leur fils suivrait le même chemin qu'eux, mais bien sûr il aurait tout à fait le droit de choisir par lui-même ce dont il voudra faire en grandissant. Ses parents le chouchoutaient beaucoup à sa naissance et celui-ci grandissait donc paisiblement et entouré de pokemon.

Six ans passèrent et celui-ci grandissait paisiblement avec ses parents. On lui apprenait à faire la différence sur les types de pokemons. Il voyait donc leur faiblesse depuis qu'il pouvait aller à l'école primaire. D'ailleurs, on lui apprenait aussi à s'en occuper convenablement et pour ça il s'entraînait avec les pokemons de ses parents. Il allait même à l'école pour apprendre la vie de tous les jours. S'instruire c'était quelque chose d'important dans sa famille tout comme les pokemons.

A l'école, celui-ci recevait beaucoup de moqueries des autres élèves étant donné qu'il était déjà plus petit que les autres garçons de sa classe et même de certaines filles. Alors, pour lui c'était vraiment très dur quand il rentrait chez lui. Il était un garçon assez renfermé à cause de ce qui lui arrivait et donc il ne parlait pas vraiment de lui.

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